Confidences ou… manipulations
Hier, vendredi 12 avril n’était, de toute évidence, pas un 1er avril. Pourtant, en lisant la Tribune, je me suis demandée si l’article : « Un avocat : “J’aide des clients à frauder le fisc” » n’était pas un poisson d’avril.
Comment imaginer qu’un avocat puisse déclarer « sous le sceau de la confidentialité », par l’intermédiaire d’un journaliste, que sa fonction consiste à frauder la loi ?