Salerno fait tout faux !
Mme Salerno exprime, dans un courrier adressé à M. Loichemol (directeur de la Comédie de Genève), son indignation que ce dernier ait invité sur une scène genevoise Bertrand Cantat.
Que Madame Salerno, comme tout citoyen ou citoyenne, puisse exprimer sa réprobation et ne pas vouloir accorder de pardon à quelqu'un qui a commis un meurtre, c'est son droit ! Mais, elle exprime là son éthique personnelle et aurait dû, par conséquent, utiliser un papier neutre pour rédiger sa missive et non pas un courrier à en-tête de la Ville de Genève.