Cul par-dessus tête !
Hier, au Conseil municipal, débats interminables sur la vidéosurveillance, dans lesquels les positions gauche/droite ont été bien tranchées
Porte-parole de la mouvance d’extrême gauche, la conseillère municipale Salika Wenger prétendait qu’une vidéosurveillance n’était absolument pas nécessaire à Genève, car notre ville ne connaîtrait pas de réels problèmes de criminalité ou de violence.
Toujours d’après elle, la violence à Genève ne serait que du ressenti, qui ne s’appuie sur aucune réalité. Plus grave encore, la violence serait pure invention de journalistes qui voudraient “booster“ la vente de leurs journaux.