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Qui finance ces groupuscules de casseurs ?

Comment un groupuscule de manifestants armés de barres de fer, de laser, d’engins pyrotechnique et de pierres peut-il semer la terreur à Zürich ?

Qui se cache derrière ces mouvements “internationaux” qui saccagent, détruisent, pillent les magasins, incendient des voitures et des poubelles, s’attaquent aux forces de l’ordre avec une telle violence que l’envoi d’une torche enflammée dans l’habitacle d’un véhicule est même considéré, par Fédération suisse des fonctionnaires de police, comme une tentative de meurtre ?

Ces petits terroristes doivent être rapidement “embastillés” de manière à les mettre hors d’état de nuire, afin que la population puisse reprendre possession de son centre ville.

Comment peut-on imaginer qu’en Suisse, des clients d’un restaurant, pris dans cette tornade de violence, doivent se réfugier au sous-sol dudit restaurant ?

Assurément, il faut espérer que la justice ne va pas appliquer le système indolore (sans effet dissuasif pour les délinquants de passage et/ou sans revenus déclarés) des jours-amende voire des jours-amende avec sursis ou sursis partiel !

Que ces manifestants qui revendiquent de “reprendre possession de la rue” (Reclaim the Streets) puissent goûter les geôles suisses !

Cette escalade de violence dans nos villes européennes doit être réprimée avec la plus grande sévérité qu’il s’agisse de racket, d’incivilité, de brigandages ou de manifestations de groupuscules qui passent leur ennui et désœuvrement à assouvir des désirs de violence inquiétants, prenant souvent même plaisir à faire souffrir leurs victimes.

Le sentiment d’insécurité ne doit pas s’installer dans notre pays afin de ne pas produire une présence policière exacerbée qui attisera la peur et favorisera, par effet boomerang, de nouvelles violences !

Il s’agit donc de trouver un juste équilibre : ne tomber ni dans l’angélisme ni dans le sécuritaire culpabilisant et déresponsabilisant, mais montrer que nos institutions, dont la justice, sont solides, et que le citoyen peut leur faire confiance.

 

 

 

 

 

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